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Point de presse de M. Jean-François Roberge, porte-parole du deuxième groupe d'opposition en matière d'éducation, d'enseignement supérieur, de recherche et de science

Version finale

Wednesday, May 27, 2015, 16 h 35

Salle Bernard-Lalonde (1.131), hôtel du Parlement

(Seize heures trente-cinq minutes)

M. Roberge : Bonjour. Alors, aujourd'hui, la Vérificatrice générale a déposé un rapport accablant pour la gouvernance de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Ce matin, au Parlement, j'ai interpellé le gouvernement et donc le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur pour qu'il prenne acte de ce rapport et qu'il agisse enfin. La Coalition avenir Québec a dénoncé cette mauvaise gouvernance depuis des mois et des mois. Ça a été très, très long avant que le ministre réagisse. Encore ce matin, le ministre semblait s'en laver les mains. Tout ce qu'il était capable de faire, c'était de nous dire qu'il était inquiet. La coalition a dénoncé cette mauvaise gouvernance à de nombreuses reprises, et enfin, enfin, on a vu que ça a bougé aujourd'hui puisque la rectrice a fini par démissionner.

Mais le blâme revient au gouvernement qui a laissé pourrir la situation trop longtemps. D'ailleurs, le Vérificateur général blâme le ministère et le ministre de l'Enseignement supérieur pour son laxisme. C'est un laxisme grave, qui a entraîné une dégradation de la situation financière de l'UQTR, et l'UQTR, c'est une institution-phare pour la Mauricie, qui ne méritait pas qu'on l'abandonne à son triste sort trop longtemps comme ça.

Maintenant, pour la suite des choses, ce qui est important, c'est que la transition se fasse rapidement. C'est la responsabilité du ministre et du ministère de l'Enseignement supérieur de voir à ce que, rapidement, l'UQTR se relève de cette nouvelle gouvernance et se mette à avancer. Et, pour oublier le passé qui a été difficile comme ça, bien, il faut s'assurer que c'est réglé. Il faut absolument que la rectrice quitte ses fonctions sans aucun boni de contreperformance, il faut que la rectrice quitte ses fonctions sans parachute doré et il serait totalement indécent à ce qu'elle conserve son salaire de rectrice alors qu'elle quitte son poste de rectrice.

Pour la Coalition avenir Québec, il est extrêmement important que les contribuables cessent de payer pour cette mauvaise gouvernance. Donc, pour nous, c'est très important, et on va interpeller le ministre à ce niveau-là. C'est lui qui est responsable. La rectrice doit quitter sans conserver son salaire de rectrice. Il est fort possible qu'elle retrouve un poste de professeur, soit, mais elle ne doit pas quitter avec un parachute doré. Merci.

(Fin à 16 h 37)

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