To use the Calendar, Javascript must be activated in your browser.
For more information

Home > News and Press Room > Press Conferences and Scrums > Point de presse de M. Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

Advanced search in the News and Press Room section

Start date must precede end date.

Point de presse de M. Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

Version finale

Wednesday, August 19, 2020, 15 h

Hall principal de l'hôtel du Parlement, hôtel du Parlement

(Quatorze heures quarante-sept minutes)

M. Dubé : Encore une fois, bonjour à tout le monde. Alors, j'annonce aujourd'hui que notre gouvernement va confier à la Commissaire à la santé et au bien-être, Mme Joanne Castonguay, le mandat d'évaluer la performance du réseau de la santé, particulièrement pour les soins et les milieux de vie pour les aînés, durant ce qu'on appelle la première vague.

Plus précisément, elle va devoir évaluer comment le réseau de la santé a géré la crise COVID pour les aînés en matière de performance, en matière de capacité, de ce que j'appelle dispensation des soins et de gouvernance. Donc, je le répète : en matière de performance, en matière de capacité, de dispensation des soins et de gouvernance.

Ce mandat commence immédiatement, et on a demandé d'avoir le rapport au plus tard le 1er septembre 2021. Je crois que c'est un éclairage qui est profond et complémentaire aux autres enquêtes qui sont en cours, je pense entre autres à celle du coroner dans quelques dossiers, dont celui du dossier Herron, et aussi des enquêtes qui seront menées, entre autres, par la Protectrice du citoyen.

Ce qu'il est important aussi de noter... Comme vous le savez, la Commissaire à la santé, qui est un poste qui a été ramené avec nous il n'y a pas si longtemps... C'est une enquête qui se veut indépendante parce que la Commissaire à la santé, elle est indépendante.

Je conclurais rapidement... puis vous pourrez poser vos questions, mais je conclurais qu'en fait, puis je l'ai dit plusieurs fois, là, au cours des 48 dernières heures, qu'on le savait qu'il y avait plusieurs difficultés dans toute la gestion des aînés, dans notre système, et ce qu'a fait la crise, en fait, c'est qu'elle a exacerbé les enjeux que l'on vivait dans notre système de santé pour nos aînés. Puis je pense que non seulement notre gouvernement, mais pour les Québécois, c'est important de faire la lumière sur ce qui est arrivé et d'avoir une vision indépendante pour comment notre système de santé a performé en temps de crise.

Alors, je vais répondre à vos questions.

Mme Prince (Véronique) : M. Dubé, est-ce qu'on comprend que c'est en vertu de la loi sur les commissions d'enquête publique, est-ce que c'est en vertu de cette loi-là qu'elle obtient le mandat? Et est-ce qu'elle aura les pouvoirs d'assigner des témoins?

M. Dubé : Ce n'est pas en vertu des commissions d'enquête, c'est en vertu de la loi qui est dans la loi de la commissaire. Alors donc, par contre, à votre question, c'est à elle de décider le niveau d'enquête et de recherche qu'elle va devoir faire. Si, à la fin, elle décidait qu'elle veut une commission d'enquête, c'est son choix.

Mais ce qu'on veut, nous, c'est avoir… Encore une fois, j'insiste, il y a une question de rapidité, on veut avoir de façon indépendante qu'est-ce qui est arrivé, comment on a performé. Puis, quand je dis «performer», là, c'est comment on a été capables de livrer les services aux aînés, dans la crise, et c'est un enjeu important. Mais on lui laisse tout le choix d'aller dans les quatre thèmes dont j'ai parlé, donc, de capacité, de gouvernance, de qualité des soins, d'être capable de nous dire si elle veut aller plus loin. Et, à l'extrême, elle pourrait demander une commission d'enquête, mais, je le répète, c'est son choix.

M. Bergeron (Patrice) : Donc, si on comprend bien, M. Dubé, elle pourrait demander une commission d'enquête en bonne et due forme, en vertu de la loi, et elle obtiendrait une commission d'enquête qu'elle présiderait?

M. Dubé : Bien là, ça serait à voir. Mais là je pense que ce qui est important… Puis c'est pour ça que je dis que c'est son choix. Parce qu'on lui donne un mandat très clair d'évaluer la performance, et, si elle se rend compte, pour évaluer la performance, qu'elle a besoin d'entendre des gens, elle n'a pas nécessairement besoin d'aller en commission d'enquête. Et c'est là qu'il faut être agile et être capable de lui dire...

Elle veut entendre… Elle s'adjoint — je vous donne l'exemple — de deux personnes qui sont des experts dans le domaine de la santé : une dame qui s'appelle Anne Lemay, qui est une experte, ce qu'on va appeler, en santé, mais en santé économique, et l'autre monsieur, je ne me souviens pas, je vais vous dire Jean-Louis, j'ai oublié son nom, je m'en excuse... Jean-Louis Denis, qui est un professeur à l'Université de Montréal. Alors, on lui a dit qu'elle avait le droit et la capacité de s'adjoindre les gens qu'elle voulait pour conduire son enquête.

Mme Prince (Véronique) : Mais, juste pour comprendre, là, par rapport à la question que j'ai posée tantôt, est-ce qu'elle a les pouvoirs d'assigner des témoins, de contraindre des gens à...

M. Dubé : Ce n'est pas une commission d'enquête. Ce n'est pas une commission d'enquête. Ce que je vous dis, c'est qu'elle peut faire l'analyse qu'elle veut. Si, une fois qu'elle a commencé son travail, qu'elle voulait voir si elle avait besoin d'aller jusqu'à une commission d'enquête pour astreindre des gens à témoigner, elle pourrait le faire. Mais ce n'est pas le mandat comme il est dessiné pour commencer.

M. Gagnon (Marc-André) : Mais, M. le ministre, quand même, vous, vous auriez pu, comme gouvernement, prendre la décision, hein, de dire : On commande une commission d'enquête, qui aurait été tout aussi indépendante, qui vous aurait évité, peut-être, de perdre du temps. Parce que, là, vous donnez un mandat à quelqu'un qui peut-être va décider de faire une commission d'enquête. Pourquoi ne pas prendre la décision la plus courageuse, qui est... commission d'enquête?

M. Dubé : J'aime beaucoup les peut-être que vous dites, là, mais je vais répondre clairement, là. Il y a une question d'agilité. La commissaire, elle est déjà en place. Je rappelle, là, les libéraux avaient aboli ce poste-là, puis, à la dernière minute, ils l'ont remis, à la pression populaire. On a quelqu'un de grande qualité qui s'appelle Mme Castonguay, qui connaît le système de santé en-dehors et en dedans, comme on dit, et elle, elle est en place maintenant puis elle peut commencer le travail maintenant. Elle nous a demandé d'avoir deux personnes. Ces deux personnes-là, je viens de vous les nommer, peuvent commencer le travail immédiatement. Et, je le répète, au besoin, si elle veut aller plus loin, si elle veut avoir le droit d'astreindre des gens, elle pourra le faire. Mais, je le répète, elle peut commencer maintenant. Ce n'est pas six mois ou trois mois de préparation.

M. Gagnon (Marc-André) : Mais sans pouvoir.

M. Dubé : Écoutez, elle a le pouvoir de faire ce qu'elle veut, et ça sera à elle de décider si elle veut aller plus loin que le mandat qu'on lui donne en ce moment.

Mme Lévesque (Fanny) : Est-ce qu'on comprend, donc, que ce mandat-là que vous confiez, ça répond à ce que M. Legault disait, qu'il n'avait pas encore décidé s'il allait faire une commission d'enquête, donc on règle le dossier en confiant le mandat à Mme Castonguay?

M. Dubé : Tout à fait. Merci. C'est pour ça que je réponds que c'est complémentaire avec tout ce qui arrive en ce moment. Vous savez, on a eu, le premier, le rapport Savoie, qui s'est présenté, sur la gouvernance à Montréal. Moi, j'ai regardé, ce que j'ai publié hier, c'est comment on va se préparer très bien pour la deuxième vague. La Protectrice du citoyen va le regarder sur une base... bien, ça le dit, du citoyen, comment les gens ont été protégés par le système de santé en tant que citoyens. Le coroner va regarder des cas spécifiques, par exemple, comme le cas Herron.

Nous ce qu'on voulait regarder avec... puis c'est ça que le premier ministre avait en tête, puis c'est ça, le mandat que je lui confie, à cette dame-là, c'est maintenant de regarder : on a un système de santé qui a été malmené, qui, en temps de crise, a eu des difficultés, puis là il faut regarder qu'est-ce qui s'est exactement passé en termes de performance, je vais le rappeler, là, de capacité, parce qu'on a manqué de capacité, comment on a géré la crise, donc toute la question de la gouvernance. Alors, c'est un mandat quand même très large qu'on lui donne. Puis on lui dit en plus : Bien, dites-nous comment les soins ont été dispensés pendant cette période-là.

Alors, je peux vous dire qu'elle peut aller pas mal loin. Et après ça, bien, comme le premier ministre l'a demandé, on pourra voir s'il faut aller encore plus loin à la lumière de ce qu'elle trouvera au cours des prochains mois.

M. Bergeron (Patrice) : Si vous permettez, M. le ministre, juste pour clarifier. Dans l'éventualité où la commissaire vous fait une demande pour avoir une commission d'enquête en bonne et due forme, en vertu de la loi, est-ce que vous allez pouvoir lui dire oui ou non ou... Vous allez lui dire oui?

M. Dubé : La réponse, c'est oui. Je vous l'ai dit clairement, si Mme Castonguay jugeait qu'il est important pour elle d'avoir, par exemple, le pouvoir d'astreindre des gens, ce qui pourrait se faire par une commission d'enquête, on lui répondra affirmativement. Mais on ne pense pas qu'en ce moment c'est le besoin. Commençons par la laisser travailler immédiatement.

Parce que moi, tout ce qu'on va apprendre d'elle, au cours des prochaines semaines, on peut s'en servir dans la deuxième vague aussi. Écoutez, on est en temps de crise. Je le répète, là, on est en temps de crise. Moi, j'ai besoin d'avoir le maximum d'information. Et, s'il y a un enjeu de capacité, un enjeu de gouvernance, des choses qu'on n'a pas vues, qui, selon elle et avec les experts qu'on lui adjoint... peut nous répondre, moi, je pense qu'on est tous gagnants de faire commencer le mandat immédiatement.

M. Bossé (Olivier) : Est-ce que c'est limité à la première vague?

M. Dubé : Pardon?

M. Bossé (Olivier) : C'est limité seulement à la période de la première vague...

M. Dubé : Oui, tout à fait. Tout à fait, effectivement.

M. Bossé (Olivier) : Est-ce qu'il y a des dates, à ça, ou est-ce que c'est...

M. Dubé : Non, on n'a pas défini les dates. Ça sera à elle de dire que, pour bien répondre à la question, voici les dates et de définir un peu plus le mandat. Mais on fait ça dans la crise de la première vague, effectivement.

Mme Lévesque (Fanny) : M. Dubé, sur l'application possible, là... d'avoir une application de traçage pour combattre la deuxième vague, justement, Sonia LeBel, en commission, parlait qu'il allait y avoir des discussions... la décision n'était pas prise encore, mais qu'il y allait avoir des discussions, que la décision allait être prise avec la Santé publique. Vous leur parlez, vous. On en est où là-dedans? Est-ce que vous, vous êtes favorable à ce genre d'application là?

M. Dubé : Écoutez, je ne vous donnerai pas mon opinion tout de suite parce qu'on est en train de se faire une opinion au niveau de notre gouvernement, mais je vous dirais tout simplement que je pense qu'on a... c'était une excellente initiative d'avoir cette commission-là. Il y a des points de vue qui divergent, mais moi, je pense qu'il est important de voir, au cours des prochaines semaines, prochains mois, est-ce que ça pourrait faire partie de nos outils lorsqu'on regarde une crise de cette ampleur-là. Il y a toutes sortes d'enjeux qui ont été bien soulevés, alors je pense qu'on a besoin encore d'un petit peu de temps.

Moi, j'ai demandé à la Santé publique de se repencher, de bien entendre ce qu'ils ont entendu en commission. Mais vous savez, la Santé publique, là, on le voit à la vitesse où évolue cette crise-là, puis je vous donne un exemple, on est obligé en ce moment d'ajouter des gens dans l'équipe pour faire du traçage, pour être capable de suivre. Est-ce qu'on pourrait avoir accès à d'autres outils qui nous permettraient de le faire? Je pense que c'est à la Santé publique, à la lumière de ce qu'ils ont appris dans la première vague, de dire est-ce que des unités de traçage pourraient aider. C'est ça qu'on leur a demandé de regarder. Mais il est un petit peu trop tôt pour arriver à cette conclusion-là.

Mais je ne serais pas surpris que, dans les prochaines semaines, on vous revienne avec une position beaucoup plus claire, mais à la lumière aussi de ce qu'on a entendu dans la commission. Parce que c'est pour ça qu'on a fait la commission.

La Modératrice : Dernière question.

Mme Prince (Véronique) : M. Dubé, concernant les tests avec la salive, on comprend que le Dr Arruda pense que ça pourrait être une option plus rapide, notamment, pour faire du test massif dans les écoles. Est-ce que vous êtes en train d'explorer cette option-là et est-ce que ça peut être prêt à court terme?

M. Dubé : Bien, écoutez, j'ai lu dans l'article, en même temps que vous ou peut-être un peu après vous, cette nouvelle façon là, j'en ai parlé au Dr Arruda ce matin, parce qu'on a une rencontre journalière, et on m'a dit qu'on est en train de faire une analyse très poussée. Parce qu'effectivement le procédé est beaucoup moins intrusif, je vais le dire comme ça, et je pense que, si jamais ce procédé-là est aussi bon que les autres, ça serait la bonne façon de...

La Modératrice : En anglais...

    Mme Sioui (Marie-Michèle) : Est-ce que vous trouvez que vos anciens collègues de la Caisse de dépôt...

M. Dubé : Est-ce que vous me laissez répondre à celle-là?

La Modératrice : Une dernière.

M. Dubé : Une dernière. C'est Marjorie qui décide.

    Mme Sioui (Marie-Michèle) : Merci, Marjorie. Est-ce que vous trouvez que vos anciens collègues de la Caisse de dépôt ont fait une bonne transaction en rachetant les actions de M. Laliberté?

M. Dubé : Ça fait deux ans que je suis ici, j'ai toujours répondu la même chose : Je vais laisser les gens de la Caisse de dépôt gérer la Caisse de dépôt.

La Modératrice : En anglais.

Mme Senay (Cathy) : Mr. Dubé...

M. Dubé : Good day!

Mme Senay (Cathy) : Good day!

M. Dubé : And I will answer in English.

Mme Senay (Cathy) : Excellent. Thank you. Thank you. The Ontario Government has put in place an independent mission, it was launched at the end of July. The Québec's Chief Coroner announced in June that she will do this public inquiry. Same thing for the Ombudsman. How come you waited that long to ask the Health Commissioner to, basically, do this study on CHSLDs and other centers for seniors?

M. Dubé : OK. Well, first, I think we're not waiting. I'm just saying that, as you know, we're in the middle of a crisis, still. And me, personally, in the last six weeks, I've been doing a lot of things and I think, at this time... And this is the reason why my first mandate was to get ready for the second wave, which could be on our door in the next few days or few weeks. So, that was my first mandate.

Now that we… And that's what the Prime Minister asked me to do, it's to look how did we perform, now, in that first wave, independent of how we need to be prepared, what have gone wrong or what have not… done properly, so in terms of performance, in terms of governance, in terms of the way we have given the services to the aged… elderly people and also the way we have, how can I say that, governed ourselves within all the system. So, Public Health, the «réseau», everything has to be governed, maybe, or adjusted. So, all those issues, now that we have… we are ready for the second wave, I think it's appropriate to give that mandate.

Now, the advantage that we have, in Québec, is we have this Health Commissioner. She's ready, she's really good, she's really competent. And we gave them all the power that she will decide that she needs to produce this report within a year. So, it could be faster, but we said, at the latest, in September 2021.

Mme Senay (Cathy) : And what was she... She will add what, exactly? Do you know that the Coroner in chief, Québec's Coroner in chief and also the Ombudsman are not…

M. Dubé : OK. The coroner will be focusing on certain very critical targeted aspects, so what happened in Herron, as an example, OK? So, it's very focused. We're more looking at the general performance of the health system. And that's when I said... You know, I'll make it very clear, we're spending $45 billion a year. How much do we spend in aged people? That's a good proportion of that. And I want her to focus on every aspect, so: how do we serve people in their house, «soins à domicile» — how do you say that...

Mme Senay (Cathy) : Home care.

M. Dubé : ... — home care, sorry, so how do we deal with home care, how do we deal with CHSLD, how do we deal with all those things. So, the Coroner cannot do this precise work. She's looking at the whole umbrella of health for the elderly.

La Modératrice : Fast question?

Mme Fletcher (Raquel) : ...

M. Dubé : Do you mind either coming closer or… I cannot hear you.

Mme Fletcher (Raquel) : Your successor announced that the Government is abandoning Bill 61 and that she's going to table a new bill in the fall. Is that a disappointment for you, considering how much work you put into it and you wanted to bring these amendments forward?

M. Dubé : No.

Mme Fletcher (Raquel) : It's not a disappointment?

M. Dubé : Not at all. I'm not with the means, but with the target. I think this new project that Sonia Lebel will present has the same objective to make sure that we are more efficient in the way we deal with infrastructure. If our Government feels that we can take a different approach to make sure that we have the result that we need, in terms of being efficient in dealing with our infrastructure, I support everything that Sonia will do.

M. Gagnon (Marc-André) :En français... Pardon... votre réponse en français.

M. Dubé : Là, vous voulez que je... Did I answer your question?

Mme Fletcher (Raquel) : Bien, j'ai une autre question...

Des voix : ...

M. Dubé : As long as she said yes.

Mme Fletcher (Raquel) : You wanted that bill to pass in the spring. So, do you admit that, if it had passed in the spring, that criticism, that backlash that we heard would have been correct, that it would have been a bad idea for the Government to have passed that in the spring...

M. Dubé : Well, I think that not only me, a lot of people, especially mayors of different cities and representatives of many sectors would have liked us to pass this in June. It didn't happen. I forget the past and I wish all our Government to make sure we succeed in the fall. That's it.

La Modératrice : En français.

M. Gagnon (Marc-André) : ...en français. Juste répéter votre réponse que vous avez donnée sur la question de la collègue concernant le projet de loi n° 61.

M. Dubé : Alors, la question était : Est-ce que je suis déçu qu'on reprenne le projet de loi à l'automne sous une autre nomination? Aucunement. Ce que j'ai répondu, c'est que je suis excessivement content que Mme Lebel, la nouvelle présidente du Conseil du trésor, ait le même objectif, peut-être avec une terminologie différente, peut-être avec des moyens différents, mais toujours avec le même objectif d'améliorer l'efficacité que l'on a de construire nos infrastructures. Et je vais l'appuyer le mieux possible dans cette démarche-là parce que notre gouvernement doit trouver, pour nos citoyens, la façon d'être plus efficace dans nos infrastructures.

La Modératrice : Merci.

M. Dubé : Merci, tout le monde. À bientôt. Merci.

(Fin à 15 h 5)

Participants


Document(s) Related