To use the Calendar, Javascript must be activated in your browser.
For more information

Home > News and Press Room > Press Conferences and Scrums > Conférence de presse de la Société du 400e anniversaire de Québec

Advanced search in the News and Press Room section

Start date must precede end date.

Conférence de presse de la Société du 400e anniversaire de Québec

Spectacle commémoratif du 3 juillet

Version finale

Wednesday, March 26, 2008, 10 h 30

Salle Evelyn-Dumas (1.30), édifice Pamphile-Le May

(Dix heures trente minutes)

M. de Champlain (Samuel): Oyé! Oyé! Mesdames, Messeigneurs, Seigneurs, Seigneuresses, le directeur général des Fêtes du 400e, Daniel Gélinas.

M. Gélinas (Daniel): Alors, bonjour à tous. Bienvenue à l'hôtel du Parlement, ce magnifique endroit, ce n'est pas l'endroit habituel pour les conférences de presse, alors ça fait plus sérieux. Je me sens même un peu nerveux. Merci, Champlain, de cette criée.
Je voudrais juste d'abord vous souhaiter la bienvenue, gens des médias, chers invités, gens de l'Assemblée nationale. Je voudrais juste peut-être remercier, en commençant, M. Michel Bissonnet, qui est le président de l'Assemblée nationale, et qui nous permet d'être ici, aujourd'hui, et qui nous permettra aussi d'être dehors cet été en autant qu'il reste encore... qu'il y ait de la pelouse cet été; également, François Côté, secrétaire général de l'Assemblée nationale. Ces deux personnes-là sont d'un grand appui pour nous pour réaliser ce qu'on veut faire cet été.
Il y a deux semaines, vous le savez, on a annoncé les grands projets d'art de la rue. La semaine dernière, le Festival d'été annonçait quelques-unes de ses grandes vedettes internationales, en collaboration avec la Société du 400e. Et, aujourd'hui, on annonce finalement une nouvelle pierre à la construction de cette programmation-là, qui est le spectacle commémoratif du 3 juillet de cette année. C'est évident que c'est un moment culminant, c'est un moment important dans l'ensemble des festivités de l'année 2008 et c'est pourquoi on a voulu faire de cette journée-là et de ce spectacle-là quelque chose de différent, d'original, de significatif et aussi de grandiose. Depuis déjà trois mois, beaucoup de gens travaillent là-dessus. Les gens donc de la production de la Société du 400e, les gens du protocole et les gens de la production d'Avanti Ciné Vidéo travaillent donc de façon très accélérée et très, très fort pour arriver à vous annoncer ce qu'on va vous proposer aujourd'hui comme spectacle pour cette période-là.
On a voulu, dans la commande, que ce soit une grande oeuvre, quelque chose qui soit mémorable dans la mesure où on dit que ce n'est pas un spectacle de variétés, ce n'est pas un spectacle d'ouverture d'un festival de musique, mais c'est bien un spectacle commémoratif, cérémonial, quelque chose qui est beaucoup plus proche, je dirais, des grands événements ou des grands spectacles d'ouverture de grands sommets internationaux où, dans une moindre mesure, mais quelque chose qui peut ressembler à une ouverture de Jeux olympiques.

Évidemment, ça met beaucoup de pression, mais je pense qu'avec ce qu'on a comme éléments actuellement en main on est pas mal sûrs d'y arriver. Ça va être une grande journée, ça va être une longue journée. On sait déjà qu'il y aura un grand spectacle pyrotechnique sur le fleuve en fin de soirée, on sait qu'il y aura, le 3 juillet, le spectacle commémoratif, il y a aussi des activités qui auront lieu dans l'avant-midi et il y aura des spectacles partout aussi en soirée et qui seront annoncés plus tard.
Alors, sans plus garder, évidemment, je ne vous annoncerai pas tout le spectacle parce qu'on a des gens qui vont nous en parler aujourd'hui, alors je vais laisser la parole maintenant au président, donc, de la Société du 400e, M. Jean Leclerc, à vous adresser quelques mots.

M. Leclerc (Jean): Merci. Alors, mesdames et messieurs de l'Assemblée nationale, mesdames, messieurs, bienvenue à notre conférence de presse. Je m'excuse auprès de Mme Larouche, vous avez raison, il y a au moins 125 sièges ici, on aurait bien pu vous en trouver un.
Alors, le 3 juillet, la ville de Québec fêtera officiellement le 400e anniversaire de sa fondation. Il s'agira de l'un des moments forts des festivités de 2008. Une véritable fête populaire inspirée par les gens qui ont fait la riche histoire de Québec et dédiée à tous les amoureux de la cité de Champlain.
En plus de célébrer la fondation de Québec, le spectacle, présenté les 3, 4, 5 juillet, rappellera les rencontres significatives entre les peuples qui ont contribué à la vitalité de notre ville. Car, si Québec a réussi à devenir la ville dynamique et ouverte que l'on connaît aujourd'hui, c'est grâce aux rencontres qui ont ponctué son existence, à commencer par les premières nations, bien sûr, et par celles, nombreuses, qui ont suivi et qui ne cessent encore d'enrichir la Capitale.
Nous avons choisi de tenir l'événement d'aujourd'hui au parlement, dans un lieu riche en rencontres et en histoire. Et croyez-en mon expérience, comme disait le poète, les plus belles sont les moins connues. Plus sérieusement, en plus de constituer un lieu magnifique, indissociable de Québec, l'hôtel du Parlement et la place de l'Assemblée-Nationale où se tiendra le spectacle incarnent également le désir constant de bâtir une société meilleure qui habite toujours le Québec après 400 ans de présence francophone ininterrompue en Amérique du Nord. À cet effet, j'aimerais remercier M. Michel Bissonnet, le président de l'Assemblée nationale, M. François Côté, le secrétaire général, ainsi que tout le personnel de l'Assemblée pour leur précieuse collaboration, tant pour cette conférence de presse, pour les spectacles du 3, 4, 5 juillet, et - comme dirait l'autre - pour l'ensemble de l'oeuvre. Chacun sait que l'Assemblée nationale est extrêmement impliquée dans nos fêtes.
Une fête, c'est un moment joyeux, fait d'émotions, de surprises et aussi de souvenirs. C'est ce que nous avons voulu créer avec le spectacle commémoratif des 3, 4, 5 juillet. Nous souhaitons que les passages historiques évoqués, les images et les chansons choisis touchent le public et lui rappellent des souvenirs liés à notre histoire collective. Merci de votre attention.

M. Gélinas (Daniel): Alors, évidemment, ce spectacle n'aurait pu être rendu possible sans l'apport d'un producteur, d'un producteur télé et d'un producteur aussi tout court pour travailler avec la Société du 400e, pour arriver à présenter donc ce spectacle très important et d'envergure. Alors, donc, le producteur télé, c'est Avanti Ciné Vidéo. Évidemment, ceci veut dire que le spectacle sera donc télédiffusé donc sur les ondes du réseau français de Radio-Canada, le 3 juillet. Donc, on est très heureux de cela, puisque beaucoup plus de gens pourront le voir. Alors, j'inviterais M. Luc Wiseman, qui est président d'Avanti Ciné Vidéo, de venir nous dire quelques mots.

M. Wiseman (Luc): Alors, bienvenue à tout le monde. Alors, je suis très fier de vous présenter ce spectacle qui sera le 3, 4 et 5 juillet. Quand Pierre Boileau est venu me rencontrer, il m'a dit: Écoute, j'ai un projet extraordinaire pour le 400e. Je lui ai dit: Écoute, si on fait quelque chose, tu sais qu'Avanti d'habitude on aime se distancer des autres. Alors, j'ai dit: Il faut que ce soit quelque chose de grandiose, il faut que ce soit quelque chose où les gens vont s'en souvenir. J'ai dit: Je veux surtout avoir un casting d'enfer, comme on fait sur nos autres productions en télévision. En spectacle, on en a fait durant des années avec Roch Voisine, Céline Dion, etc. Alors, j'ai dit: Là, il faut vraiment qu'on marque le coup. Alors, avec Pierre, on a concocté, je pense, un spectacle pour les trois jours où le casting sera là. Donc, les vedettes seront là pour les trois jours et non pas juste pour le 3, pour que tous les gens de Québec puissent voir ce spectacle-là. Alors, j'inviterais Pierre Boileau à venir vous présenter justement ce spectacle-là dont nous sommes assez fiers du line up de ce spectacle-là. Pierre.

M. Boileau (Pierre): Bonjour. Donc je suis heureux de vous présenter le contenu du spectacle commémoratif. Le titre du spectacle, c'est RENCONTRES. Le 3 juillet, nous fêterons 400 ans d'histoire, 400 ans de rencontres, des rencontres entre les Européens, premières nations, et rencontres avec tous ceux qui sont venus enrichir cette première rencontre. Pour illustrer les rencontres, on a choisi les plus beaux textes de notre histoire et les plus belles voix. Les artistes qui ont accepté notre invitation sont fiers de se réunir pour fêter Québec et, à la demande du 400e, ils vont être là pour les trois jours. On le répète, je suis le premier étonné, tout le monde a accepté d'être là les 3, 4, 5. On est très heureux. On est très heureux des artistes qui font partie de notre distribution. Alors, sans plus tarder, seront présents avec nous pour fêter 400 ans: Diane Dufresne, Robert Charlebois, Claude Dubois, Ginette Reno, Maurane, Marie-Jo Thério, Annie Villeneuve, Lynda Thalie, Marco Calliari, H'Sao, Ariane Moffat, Florent Vollant et Luce Dufault. C'est une excellente distribution. Donc, ils vous saluent tous très bas aujourd'hui. Lors de notre spectacle, ils ne viendront pas vous livrer leurs dernières chansons. Ils viennent vous présenter des textes majeurs qui font partie de notre répertoire québécois.
Pour bien diriger tout ce beau monde, on avait besoin d'un personnage principal. Ça fait qu'on a cherché, on a fait des brainstormings, on a fait des sondages puis on s'est dit: Champlain? Ça fait qu'on a choisi Champlain pour être notre personnage qui va suivre toute l'histoire. Et, comme il y a pas mal de Champlain différents, on a, nous, choisi celui qui est sur la fresque de la côte de la Montagne. Donc, aucune offense, c'est un Champlain d'une autre couleur...
Et pour camper le rôle primordial de Champlain: Yves Jacques. Yves Jacques, alias Champlain, va nous accompagner tout au long du spectacle. Il est un personnage intemporel. Il y aura une réflexion de Champlain sur chacun des tableaux. Nous avons 10 tableaux dans le spectacle. Donc, Champlain et sa troupe vont être accompagnés de - encore une autre série de chiffres - 15 musiciens, six choristes, une grande chorale, 25 danseurs - je vais ralentir, je vois les crayons - et 25 acrobates.
Champlain est intemporel. Il va constamment avoir un commentaire sur l'action qui se passe. Son costume est le même du début à la fin. Mais la troupe de Champlain n'est pas intemporelle. Pour se situer dans le temps, on va faire référence et on va utiliser plusieurs moyens de locomotion. Donc, les personnages, qui sont associés aux moyens de locomotion, seront situables dans le temps; on pourra voir de quelle époque on parle. Et Champlain, lui, a toujours la même image.
Il y a une équipe de création qui est assez exhaustive, et je vais vous... sauter l'étape. Donc, dans tous les dossiers de presse, vous avez la liste de l'équipe de création. C'est... la plupart des gens avec qui... ils ont déjà travaillé avec Luc, des gens avec qui j'ai déjà travaillé dans le passé pour ce type de spectacle commémoratif. Donc, une équipe hypertalentueuse.
Un petit mot au niveau du traitement. On prépare un spectacle qui est non linéaire. Ça fait que donc on ne parlera pas des étapes: nous sommes en telle année, et avancer pour se rendre à 2008, donc, pas de linéaire au niveau du développement historique. Il en est de même pour les costumes de chacun des tableaux, de ce que j'ai parlé. Il y a des références sur 400 ans de tenues vestimentaires. Ça fait que donc, dans un tableau donné, si je regarde l'ensemble des costumes, je vois 400 ans de costumes. Sur un costume particulier, j'ai une époque particulière. Si j'ai une voiture des années quarante, j'ai un costume des années quarante, je fais une chanson des années quarante, je suis dans une période particulière.
Au niveau de la scénographie, on a opté, donc comme vous avez entendu plus tôt, on a opté pour une scénographie plus éclatée, on a même un scénographe, qui est derrière et qui nous regarde, Mario Bouchard, et c'est une scénographie qui reflète l'immensité de cette fête. Ça fait que donc on ne voulait pas avoir une scénographie standard: une scène, une seule et même scène avec tout le monde devant.
Donc, je vous présente le parlement. Il y a plusieurs personnages qu'on voit, des personnages que vous connaissez, qui sont les statues de bronze. Il y a d'autres personnages qui vont venir s'ajouter. On a une première scène qui est la scène des musiciens. De cette scène, il y a un cours d'eau qui va sortir. Ce qu'on voit, c'est la scène... on voit l'eau qui est au pied de la scène, mais en réalité l'eau va tomber de la scène comme une cascade et va couler tout le long sur le parlement pour pouvoir se rendre jusqu'à la fontaine de Tourny. On voit des gradins de part et d'autre du fleuve. Ce sont des gradins pour les dignitaires. On voit la fontaine de Tourny, et les spectateurs vont être de l'autre côté de la fontaine, j'y vais, ainsi que sur Grande Allée. Il y a des écrans géants un peu partout. Si donc, on revient sur l'autre... sur la scène...

Une voix: ...

M. Boileau (Pierre): Géant, géant! On a même une dimension, que c'est des grands camions, là, avec des écrans qui se déploient là puis on peut voir... Il y a donc une équipe télé, donc on a un close-up assez important et une qualité sonore pour que tout le monde entende. Donc, le mouvement se fait du parlement et vient vers la fontaine, et il y aura du mouvement qui va se faire tout le tour de la fontaine; je parlais plus tôt de moyens de locomotion. Voilà.
Si on passe à la prochaine, donc la fontaine qui va toujours être en activité dépendamment des tableaux et recouverte d'une forme géodésique, on devine le Québec et l'Europe. Et on va passer à la prochaine pour avoir... Donc, on voit la fontaine qui est action. On a le Québec et l'Europe qui... Ces deux parcelles de terre vont devenir des écrans de projection. Donc, c'est du... Comme le spectacle a lieu de jour, c'est une projection qui est suffisamment définie pour bien voir les images, toute l'imagerie qu'on va travailler là-dessus. Donc, là, on voit, une fois que les continents sont défaits et deviennent des écrans de projection, en termes de ratio, on voit le personnage, donc on voit la dimension. L'idée de base de ça, elle venait vraiment quand on regarde le globe terrestre. On voit l'Europe d'un côté... de l'autre côté, et donc ce nouveau monde va être créé par la rencontre des premières nations avec les Européens qui pourront bouger... Le tout... On voit, à la base de la forme géodésique, qu'il y a des tambours des premières nations qui vont servir de roue et qui seront donc le véhicule de la création de la société que nous formons présentement.

Ce spectacle, donc RECONTRES, un spectacle de 75 minutes, le même spectacle présenté trois fois - je le répète pour au moins la troisième fois; trois fois - pour s'assurer que tous aient un accès direct au spectacle. Je vous invite donc les 3, 4, 5 juillet, juste ici de l'autre côté des portes et, si la tendance se maintient, il n'y a plus de neige, qui est en immense quantité à chaque fois. Et je vous laisse aux bons soins de M. Daniel Gélinas. Merci.

M. Gélinas (Daniel): Merci, Pierre. D'ailleurs, ça n'a pas été mentionné, mais Pierre n'en est pas à ses premières armes dans ce genre d'opération là, puisqu'il a fait plusieurs projets, dont les cent ans de la Saskatchewan et plusieurs spectacles aussi commémoratifs, pour la reine, etc. Donc, ici, on connaît aussi Pierre pour tous ses projets en variétés également. Donc, c'était le mixte parfait pour nous autres pour arriver à livrer ce genre de production.
Alors, voilà. Écoutez, je voudrais remercier, avant de terminer, donc les partenaires, en fait, là, les trois grands partenaires évidemment de la Société du 400e, les trois paliers de gouvernement, le gouvernement du Québec, le gouvernement du Canada et la ville de Québec, et plus spécifiquement les deux partenaires qui sont liés et associés à cette production, que sont Bell Canada et la SAQ, que je remercie infiniment.
Pour la période de questions, on ne fera pas ça directement comme ça. On va faire des entrevues individuelles. C'est la directive que j'ai eue. Alors donc, on fera des entrevues individuelles avec les gens que vous voudrez bien rencontrer. Et, suite à ça, il y a un cocktail au Parlementaire qui est juste ici, pas loin. Alors, on se retrouve tous là pour le verre de l'amitié. Alors, merci d'être venus ce matin, et à bientôt.

M. Gélinas (Daniel): À bientôt.

Des voix: ...

M. Gélinas (Daniel): Nous abdiquons. Allons-y. Il faudrait que mes autres acolytes viennent me rejoindre. Je vais demander à Pierre et à Luc... Luc est là. O.K. C'est bon.

Journaliste: Moi, j'aimerais savoir... J'aurais voulu être positive, là, je vais passer par... Mais Québec a été une ville anglaise aussi et, puisque c'est commémoratif, est-ce que c'est un choix de... J'ai l'impression qu'on a passé par-dessus...

M. Gélinas (Daniel): Il y aura des numéros qui vont marquer, dans l'histoire, la présence des Irlandais, des Britanniques ici. C'est déjà prévu, c'est juste que ça n'a pas été...

Une voix: On parle d'une rencontre entre Européens et premières nations. Européens, j'englobe tous les pays, toutes les nations fondatrices.

Journaliste: Oui, mais ils sont restés ici longtemps les Anglais, là. Québec était une ville anglaise, là.

Une voix: Oui, oui, c'est prévu.

Journaliste: O.K... Maintenant, vous savez que, depuis le début de... depuis le coup d'envoi, il y a des problèmes de transport. Je m'excuse de vous amener à des choses très prosaïques, là, mais il y en a eu pour la symphonie des mille, il y en a eu beaucoup. Apparemment, vous n'aviez pas demandé... Je regarde au... C'est écrit : Navette. Prenez... Laissez-vous transporter par la fête. Bon, il y a une belle annonce, mais il n'y en a pas, de navette. Est-ce que pour ça vous allez...

M. Gélinas (Daniel): Bien, oui, oui, tout à fait. Écoutez, ça, là, je veux dire, tout le monde est au courant de ce que vous nous mentionnez. D'ailleurs, déjà notre équipe de la Société du 400e est déjà en discussion avec le RTC pour s'assurer que le système de transport... parce que, vous le savez bien et nous le savons tous, que cette journée-là précisément et ce week-end-là, du 3 au 6 juillet, va être extrêmement achalandé surtout dans ce périmètre-ci. Donc, c'est assurément certain qu'il va y avoir un système de navettes qui sera des périphéries de la ville vers ici, parce que ce ne sera pas possible, ce ne sera pas vivable en termes d'accès à ce périmètre-ci. Ça, c'est certain. On le sait, là, de toute façon, là. Et le niveau de spectacle qu'on va présenter, ne serait-ce que celui-ci plus les autres qui vont s'ajouter, c'est certain qu'on va avoir un très, très grand achalandage. Et tant mieux, hein?

Journaliste: ...régler ça justement, réglementer les gens qui vont pouvoir avoir accès...

M. Gélinas (Daniel): Accès?

Journaliste: ...accès pour aller voir.

M. Gélinas (Daniel): Mais est-ce que c'est accès d'où ils partent pour venir en ville ou une fois qu'ils vont être ici?

Journaliste: Rendus ici, là, pour que tout le monde puisse voir.

M. Gélinas (Daniel): Ah bien, là, écoutez, là c'est sûr que les gens vont venir sur l'hôtel du Parlement. Il y a l'espace jusqu'au mur, les gens vont s'installer, vont venir voir le spectacle, là. Je pense que...

Journaliste: ...combien de personnes...

M. Gélinas (Daniel): À l'hôtel du Parlement, on est capables d'aller chercher à peu près 10 000, 15 000 personnes facilement sur cette partie-là. Même, il y aura des écrans; les gens pourront être dans la rue. Il ne faut pas oublier que ce spectacle-là est présenté trois jours aussi, là, hein? Ça, c'est important de le mentionner. Les gens, s'ils ne peuvent pas, pour une raison ou pour une autre, être là la journée du 3, ils pourront être là le 4 ou le 5, là.

Journaliste: Est-ce qu'il y aura une sécurité particulière...

M. Gélinas (Daniel): Au niveau de la sécurité, compte tenu du fait que nous ne savons pas encore exactement quels sont les dignitaires qui vont être présents, le niveau de sécurité sera en fonction du niveau de dignitaires qu'on aura. Alors, ça, actuellement, les gens de la police de Québec, avec la GRC, qui ont un comité qui s'assure de planifier ce genre de choses là...

Journaliste: Est-ce que la présence de certains dignitaires est confirmée? Est-ce que vous avez des noms à nous donner?

M. Gélinas (Daniel): Pour l'instant, je ne peux pas donner de noms, parce que les invitations sont faites par les paliers de gouvernement. Donc, ce n'est pas nous qui vont nécessairement... à moins qu'on nous l'autorise, de donner les noms des dignitaires qui vont être ici. C'est vraiment les paliers de gouvernement qui font les invitations, et c'est eux qui vont éventuellement soit annoncer, via nous ou eux-mêmes, qui sont les dignitaires qui vont être ici.

Le Modérateur: Juste un instant! On va reprendre peut-être nos vieilles habitudes qu'on a déjà acquises, et je vais donner le droit de parole.

Journaliste: J'aimerais savoir: Est-ce que ça va être télédiffusé en direct le premier jour?

M. Gélinas (Daniel): En fait, ce n'est pas tout à fait encore déterminé si ce sera en direct-direct ou rediffusé, mais, si c'est rediffusé, ça va être vraiment quelques heures plus tard. C'est ce qui est discuté actuellement. Mais on n'a pas le choix ou la décision finale là-dessus encore.

Journaliste: Je voyais qu'il y avait Geneviève Dorion-Coupal qui a fait le spectacle du 31 décembre aussi, qui fait partie de votre équipe. Est-ce qu'il y a des leçons que vous avez apprises du 31 décembre, que vous ne voulez pas répéter dans ce spectacle-là qui va... importance pour le 400e...

M. Boileau (Pierre): Chaque spectacle doit être vu comme une entité. Geneviève se retrouve sur ce spectacle-ci. Geneviève est la plus prolifique des chorégraphes, qui travaille avec tous les metteurs en scène. Geneviève travaille avec René, avec Denis, avec moi. Donc, Geneviève était déjà sur mon spectacle. On a monté ensemble le dernier, qui était Joe Dassin. Chaque spectacle doit être vu pour ce qu'il était. J'ai participé un peu au spectacle du 31. C'était moi qui devais s'occuper de tout le segment protocolaire, qui était filmé, avec les différents premiers ministres et... Ça fait que donc j'avais apporté cette contribution-là. Non, le spectacle a été monté... On doit monter un spectacle en fonction de ce qu'on pense qu'on doit faire et non en réaction à quoi que ce soit. Comme ça, on risque de se rapprocher de ce que les spectateurs désirent avoir.

M. Gélinas (Daniel): Juste peut-être en ajout, pour te rassurer, c'est que, depuis début janvier, on a une cellule de production qui ne travaille que là-dessus à toutes les semaines. Et, entre ces réunions-là, les gens, soit du 400e et les gens de Ciné Avanti Vidéo travaillent sur le spectacle. Donc, il y a un niveau de planification, là, qui fait en sorte qu'en principe ce qui va être livré en bout de piste va être vraiment ce à quoi on s'attendait. Évidemment, on ne peut pas prévoir tout, mais, je veux dire, je peux vous dire qu'il y a un niveau de planification qui pourrait... qui va faire en sorte que ça va être...

Journaliste: Est-ce que c'est un hasard si Florent Vollant et Robert Charlebois font aussi parti du spectacle... Est-ce que c'est parce qu'on ne voulait pas les laisser en plan ou si c'était vraiment...

M. Boileau (Pierre): Aucun lien. Non, ce spectacle-là a été pensé librement, donc Florent est là parce qu'on souhaitait avoir Florent; Robert est là parce qu'on souhaitait avoir Robert. Il n'y a aucune indication, il n'y a rien, il n'y a pas de pression, il n'y a pas... On sera totalement responsables des joies et des peines, mais il n'y a pas de...

M. Gélinas (Daniel): ... de Robert Charlebois aurait été...

M. Boileau (Pierre): En fait, ce que je dirais, ce qui a probablement joué en notre faveur, c'est que Robert était libre, donc c'est un choix heureux.

Journaliste: Est-ce qu'il a pris beaucoup d'ampleur, le spectacle, parce qu'à l'origine... Mais est-ce que le concept devait être le même à l'origine avant que l'Opéra urbain soit abandonné ou si...

M. Boileau (Pierre): Je peux répondre à ça?

M. Gélinas (Daniel): Oui, oui.

M. Boileau (Pierre): Le spectacle, dans sa forme, est vraiment le spectacle qui a été pensé au tout début, et il y avait... il y aurait eu cohabitation avec l'Opéra urbain qu'il n'y a pas, mais ce n'est pas... Je crois que le spectacle se retrouve les 3, 4, 5, c'est un voeu du 400e d'avoir une fenêtre plus grande vers les spectateurs. Ça, ce n'était pas prévu au début, mais sinon la facture actuelle du spectacle était... En fait, c'était le rêve du début, parce qu'on n'aurait pas réussi, mais...

Le modérateur: Droit de parole rapidement. Il y a madame... M. Grant et Mme Larouche...

Journaliste: Est-ce qu'il y a une raison qui explique la présentation de ce spectacle-là en après-midi? Et pouvez-vous nous donner des exemples des textes, des grands textes québécois qui vont être interprétés?

M. Boileau (Pierre): O.K. Les grands poètes québécois sont interprétés. Il y en a plusieurs qui sont sur scène et d'autres qui ne sont pas sur scène, qui vont être interprétés par certainement notre équipe un peu plus jeune. Donc, c'est des grands textes, les grandes chansons, on ne peut pas passer à côté.

Journaliste: ...des poètes?

M. Boileau (Pierre): Des poètes, chanteurs. Tu sais, si on parle de Leclerc, on parle de Léveillée, on parle de Ferland. On parle de gens qui ne sont pas là, et leurs chansons vont être présentes dans les bouches de quelqu'un d'autre. L'autre question était?

Journaliste: Pourquoi en après-midi?

M. Boileau (Pierre): Ah! En après-midi, ça, je ne peux pas répondre, parce que la première fois que je me suis rendu... la première fois que j'ai été approché, c'était en après-midi. Ce que je peux répondre, c'est que souvent des spectacles dits protocolaires, dits commémoratifs sont faits en après-midi. Et j'en ai vu plusieurs, c'est tout le temps pour des raisons différentes. Quand on a fait le 100e de la Saskatchewan, le spectacle était à 2 heures l'après-midi. C'était-u 14 heures? C'était à 18 heures. 18 heures, ce qui était «weird» pour être 20 heures Toronto live, donc les gens devaient arriver à quatre heures de l'après-midi. Ça fait donc que ça donnait un spectacle en soirée dans une partie du Canada puis en après-midi ou même plus tôt dans l'autre partie. J'ai regardé des spectacles le jour de la Victoire, c'était en après-midi. Souvent, les spectacles protocolaires sont faits en après-midi. Mais il y a certainement eu d'autres raisons qui faisaient partie d'une époque où nous n'étions pas encore arrivés.

Journaliste: S'il pleut, s'il pleut, allez-vous mettre les dignitaires en dessous de...

M. Boileau (Pierre): S'il pleut! Pourquoi ils annonceraient de la pluie?

Journaliste: Des fois, ça arrive.

M. Boileau (Pierre): Des fois, ça arrive. Non, ils nous disent qu'il y a eu trop de neige cette année, donc ça va être un été sec. Le spectacle a lieu, peu importe. Et tout le monde a un bon parapluie confortable et transparent.

Journaliste: J'aurais deux questions: d'abord, quel est le... Et comment ça fonctionne... Les gradins sur les côtés, c'est juste pour les dignitaires? Combien de gens vont pouvoir s'asseoir là?

M. Gélinas (Daniel): En fait, il y a 750 places qu'on a réussi à installer de chaque côté. Donc, pour le 3 juillet, ce sera principalement donc pour les dignitaires internationaux, les gens de l'Assemblée nationale, les invités des paliers de gouvernement. Ça devrait remplir pas mal l'espace.

À partir du 4 et du 5, là, ce sera probablement plus ouvert au public. Il y a encore quelques partenaires à positionner dans ces journées-là, mais là ça va être vraiment le public qui va avoir accès à ces gradins-là pour les journées qui vont suivre.

Journaliste: Donc, premier arrivé, premier servi?

M. Gélinas (Daniel): Oui, exactement. Ça va être très probablement de cette manière-là que ça va se passer, là.

Journaliste: ...budget?

M. Gélinas (Daniel): Le budget, il y a un investissement de 3,5 millions sur l'ensemble de l'opération. On parle de l'ensemble de l'opération. On parle... Parce qu'il y a le spectacle, il y a les trois jours de spectacle, et il y a également une partie de la journée qui fait partie de ce budget-là, qui est le salut à Champlain qu'on ne vous parlera pas nécessairement aujourd'hui, mais c'est toute une partie très importante en début de journée où il y a aussi encore des installations importantes qu'il faut qu'on installe là-bas. Donc, on travaille très fort, on a travaillé très fort pour resserrer ça pour faire en sorte qu'on puisse, dans les meilleures conditions possible, offrir le maximum. Parce que je pense qu'il y a une chose qui est importante et qu'on avait en tête, c'est que la journée du 3 juillet, on ne peut pas se tromper, il faut qu'on arrive avec quelque chose qui va être bien fait, qui va être reconnu internationalement parce que les images vont tourner un peu partout et, pour nous autres, c'est important que ce soit vraiment parfait, là.

M. Boileau (Pierre): Si je peux me permettre de faire juste une petite parenthèse, je vais vous ramener à la scène ici pour bien comprendre en termes de focus. Je vais m'éloigner du micro pour pointer un endroit qui devient le lieu principal pour mon artiste. Donc, j'ai Diane Dufresne qui fait sa chanson. Diane Dufresne fait face à la population. Ce n'est pas un spectacle qui est monté pour les dignitaires. Les dignitaires sont présents au spectacle, c'est un spectacle qui est monté pour la population, et les dignitaires vont voir le spectacle, eux aussi, grâce à des écrans. Chacun des écrans va être - je bouge encore; chacun des écrans - pour les dignitaires, vont être derrière les dignitaires qui leur font face, ce qui fait qu'eux vont être présents pour voir tout ce qui... tout le trafic qu'il y a entre le... donc, le parlement et puis la fontaine, mais la scène principale, c'est tout autour. Et pour vous donner les dimensions, c'est 33 m de scène principale, le diamètre. C'est énorme. Et la population donc a les premières loges. Je voulais simplement spécifier ça pour dire: Ce n'est pas parce que je ne suis pas assis dans les gradins que j'ai une mauvaise ou une moins bonne place. On est d'accord, par contre, on est obligés de prendre des notes debout quand on est de l'autre côté, parce que, dans les gradins, on a des sièges. C'est tout.

Journaliste: Comme ma collègue a indiqué, Québec est aussi une ville anglophone... irlandais, écossais aussi... En tout cas... talk about 10 000, 15 000 people... number on the 31st of December... many more. And this is... the weather, the temperature was about zero then. This is going to be summer... So, what is going to happen...

M. Gélinas (Daniel): Écoutez, on a toujours géré les foules, depuis des années... Quand j'étais au Festival d'été, on a eu des trucs qui étaient très, très attractifs. Là, pour l'instant, on ne peut pas bouger les murs. Donc, c'est évident que les gens qui vont se présenter pour voir le spectacle vont s'installer dans ce périmètre-là, jusque sur René-Lévesque, à la limite, jusqu'à... tout ce périmètre-là. Je pense que, sincèrement, si vraiment on déborde, mais on déborde de ça, ce qui serait vraiment un succès monstrueux, j'aime autant vivre avec le succès monstrueux que d'arriver avec un terrain qui est à moitié plein, là. Je pense qu'on va réfléchir et on pense régulièrement à la gestion de la foule, à la sécurité, à l'accès au site. Ce sont toutes des choses sur lesquelles on réfléchit actuellement. Alors, évidemment, si ça a un succès qui va au-delà, et bien au-delà de ce qu'on pense, eh bien, on va le gérer au fur et à mesure que ça va arriver, là.

Journaliste: ...événement de 75 minutes trois fois. Le reste des journées, les trois jours, ça va être quoi... sur le fleuve, mais le matin, en soirée, qu'est-ce qu'il y a à part ça?

M. Gélinas (Daniel): Bien là, il ne faut pas oublier que le 3 juillet, c'est le démarrage du Festival d'été de Québec. Donc, il y a déjà trois scènes majeures qui sont installées: il y a place D'Youville, il y a la place de la Francophonie puis il y a les plaines. Donc, il y a des spectacles sur ces trois sites là en soirée. Et il y a aussi d'autres scènes dans le bas de la ville, dans le quartier Saint-Roch. Et donc, ce que je vous dis, c'est que cette journée-là, la journée du 3 juillet, là, vraiment cette journée-là, là, on veut que cette journée-là soit mémorable, et que les gens se rappellent de cette journée-là comme quelque chose de très intense, parce que ça commence le matin et ça se poursuit avec le spectacle commémoratif l'après-midi. Il y a les spectacles du Festival d'été et il y a encore des choses qui ne sont pas connues pour le soir. Et ça va se terminer donc en très fin de soirée avec le grand spectacle pyrotechnique sur le fleuve. On veut que les gens sentent qu'ils en ont vraiment eu pour leur argent.

Le Modérateur: J'ai Mme Larouche et...

Journaliste: ...

Une voix: Daniel, il y avait l'écran. Il y a l'écran qui est sur Grande Allée, tu ne veux pas en parler?

M. Gélinas (Daniel): Ah oui! Bien, c'est ça, il y a des écrans...O.K. vas-y.

Une voix: For the overflow of people, there will be a giant screen on Grande Allée and... for them as well.

Journaliste: How big?

Une voix: Huge. They tell me that this is small. Now, a big one on a truck, a jumbo truck.

M. Gélinas (Daniel): Il y a même deux autres écrans qui sont disponibles dans le cadre du Festival d'été. Il y en a un sur Grande Allée plus haut dans le coin de la place de la Francophonie. Il y en a un autre à d'Youville. Donc, on va utiliser l'ensemble des équipements disponibles pour pouvoir retransmettre, là, si c'est nécessaire.

Journaliste: Est-ce qu'on fermera les rues... Grande Allée, oui?

M. Gélinas (Daniel): Très certainement, mais le plan de fermeture de rues, là, je ne le connais pas encore. Mais très certainement, absolument, absolument, il va y avoir des fermetures de rues, c'est sûr et certain, là.

M. Boileau (Pierre): Et on a une scène qui est très, très loin de la loge, donc il faut pouvoir y arriver.

Journaliste: ...pour les arrondissements. Donc, on aurait pu mettre des écrans géants aussi dans les arrondissements pour que les gens puissent les voir à l'extérieur aussi du centre-ville...

M. Gélinas (Daniel): Il ne faut pas oublier que le spectacle est télédiffusé, hein, donc les gens...

Journaliste: (Question inaudible)

M. Gélinas (Daniel): Oui, bien, écoutez, ce n'est pas exclu, mais du fait qu'il soit déjà télédiffusé, pour nous autres, c'est un élément important. Les gens vont pouvoir le voir un peu partout, soit en direct ou, à la limite, légèrement différé, là.

Journaliste: Pour ce qui est du volet historique, là, le 31, encore une fois... les gens n'ont pas nécessairement... ce n'était pas si clair que ça, le volet historique qu'il y avait dans ce spectacle-là. Comment, vous, vous allez faire pour vraiment en faire un spectacle historique? Est-ce que ça va vraiment... va falloir interpréter un petit peu qu'est-ce qui va se passer...

M. Boileau (Pierre): O.K. On fait un spectacle qui est teinté d'histoire, je ne fais pas un spectacle historique, sinon on s'ouvre les veines, là. Je m'excuse, là, mais c'est tout, là. Ça fait que donc je déteste les spectacles où on s'ouvre les veines, surtout à l'extérieur. Mais donc ça va être un spectacle où on a référence à l'histoire, on comprend les mouvements, les grands mouvements de l'histoire, on va en parler. Ces grands mouvements-là sont aussi repris par plusieurs chansons que vous connaissez. Donc, il y a constamment une référence historique. Champlain fait constamment un commentaire qui nous replace dans l'histoire. C'est sûr que, sans tout dévoiler, on a Marie-Jo qui va nous parler de l'Acadie, là. S'il y a comme un mouvement historique important, il y a... Donc, on va parler de l'histoire, mais, si je suis un touriste et je ne connais rien de l'histoire du Québec, de Québec, je vais avoir le goût de m'acheter un livre en sortant.

Journaliste: ...vous dites qu'ils ne chanteront pas leur dernier succès, mais Charlebois, on peut s'attendre à ce qu'il chante du Charlebois, j'imagine, un petit peu...

M. Boileau (Pierre): Absolument. Non, il n'est pas exclu qu'un artiste chante sa chanson. Ce qui est exclu, c'est, comme dans beaucoup de galas: Je vais aller au gala si je peux sortir mon dernier single. Ce n'est pas ça. Les artistes sont approchés d'abord et avant tout pour ce qu'ils sont, pour ce qu'ils ont fait. Et les approches n'ont pas été faites: Hé! Salut, veux-tu embarquer sur le show avec nous autres, puis fournis-moi une toune, là, tu sais. C'est: On aimerait travailler ensemble, et la chanson qu'on voudrait, c'est celle-ci. Puis cette chanson-là va être présentée de cette manière. Ce qui fait que... Je suis désolé, c'est parce que je trouve qu'on en dit beaucoup, mais, tu sais, je veux garder des surprises, je ne veux pas dire: On va avoir telle chanson, telle chanson. Mais, pour le moment, toutes les chansons sont choisies. Et, tu sais, la ligne claire, c'est... Robert Charlebois, Diane, ils vont... plus de chances de chanter leurs chansons que des artistes plus jeunes, plus émergents.

Journaliste: ...chanter en anglais.

M. Boileau (Pierre): On peut chanter dans toutes les langues, on est libres.

Une voix : J'aimerais juste savoir si les billets...

Le Modérateur: Il faut vraiment qu'on passe aux entrevues individuelles... Merci.

Une voix : ...pour savoir si c'est déterminé maintenant, la façon qu'on va pouvoir accéder au show de fermeture du Cirque du Soleil?

Le Modérateur: Il faut vraiment qu'on passe aux entrevues individuelles. On a un direct merci.

(Fin à 11 h 8)


Document(s) Related