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Point de presse de Mme Agnès Maltais, leader parlementaire de l'opposition officielle et M. Alain Therrien, porte-parole de l'opposition officielle en matière de travail et de régimes de retraite

Version finale

Thursday, September 11, 2014, 9 h 30

Salle Bernard-Lalonde (1.131), hôtel du Parlement

(Neuf heures vingt-neuf minutes)

M. Therrien : Bonjour. Alors, vous avez entendu, en commission, les différents intervenants. On parle des employés, on parle des travailleurs, on parle des maires, de beaucoup de maires, on parle aussi des retraités. Et l'opposition officielle fait un constat. D'abord, le mur-à-mur est inacceptable. On ne veut pas d'automatisme. On veut que le projet tienne compte des réalités spécifiques. Les intervenants mentionnent aussi que la désindexation automatique ne devrait pas être dans ce projet de loi là. On veut aussi que la restructuration des régimes bien capitalisés doive se faire à l'échéance des conventions collectives.

Deuxièmement, le gouvernement ne peut pas briser les contrats de façon systématique. On doit laisser l'espace de négociation. Donc, on ne veut pas que le partage des déficits passés soit automatique, on ne veut pas que la désindexation des retraités se fasse de façon unilatérale. On veut laisser de l'espace à la négociation.

Dernier point, on parle de la pérennité des régimes de retraite. On ne voit pas en quoi le plafond imposé, de 18 % et de 20 %, dépendamment de la catégorie des travailleurs, fait en sorte qu'on assure une pérennité de ces régimes de retraite là.

Alors, nous… le Parti québécois propose d'éliminer ce plafond-là, tout simplement, pour ne pas décourager l'épargne et faire en sorte que les gens qui veulent améliorer, bonifier leur régime de retraite à l'intérieur d'une rémunération globale, le peuvent s'ils le désirent.

Mme Maltais : Alors, toujours concernant le projet de loi n° 3, l'opposition officielle a une demande à faire au gouvernement. Alors, nous demandons au gouvernement l'engagement ferme — je tiens à ce mot, «ferme» — qu'il lui donnera accès aux évaluations actuarielles au 31 décembre 2013 ainsi qu'aux principaux amendements dont nous souhaitons… ceux dont vient de parler mon collègue Alain Therrien, avant l'étude article par article. Cet engagement devra être ferme et énoncé avant l'adoption de principe.

C'est une question de respect, d'abord, pour les retraités et pour les travailleurs, mais c'est aussi pour permettre qu'il y ait un travail sérieux qui soit fait par les parlementaires. D'autre part, nous croyons que le fait de posséder ces données et de posséder des amendements majeurs nous permettra de contribuer à la détente qui est en train de se passer autour de cette opération.

Merci beaucoup.

Mme Prince (Véronique) : Qu'est-ce qui vous fait croire que vous ne les auriez pas, ces données-là? Parce que ce n'est pas quelque chose qu'automatiquement vous avez, normalement?

Mme Maltais : Ils vont être déposés à la Régie des rentes, semble-t-il, au 30 septembre. Nous ne savons pas combien de temps ça prendra avant que ce soit déposé aux parlementaires et nous croyons que, pour l'étude article par article, quand on va tomber dans les ajustements, il serait important d'avoir ces données. Il faut savoir de quoi on parle, il faut savoir de qui on parle.

M. Therrien : Parce qu'en… si je peux rajouter quelque chose, en commission parlementaire, on a beaucoup insisté, justement, sur le portrait global. Certains avançaient des chiffres, d'autres avançaient d'autres chiffres et ils utilisaient ces chiffres-là pour faire valoir leur point. Et, par rapport à un sujet aussi délicat, il faut avoir le portrait le plus clair possible pour qu'on puisse arriver à des solutions qui soient adaptées aux situations qu'on a devant nous. Et c'est ce qu'on avait comme problème en commission parlementaire. On aurait aimé ça, avoir ces chiffres-là avant. Idéalement, là, dans le meilleur des mondes, on aurait aimé ça l'avoir avant cette commission parlementaire là, mais on ne les avait pas. Alors donc, on a eu une pluie de chiffres qui étaient avancés de part et d'autre et on avait de la difficulté à trancher puis se faire une tête sur, justement, là, la gravité de la situation puis aussi le genre de solution qu'on peut utiliser par la suite.

Mme Prince (Véronique) : Est-ce que, jusqu'à maintenant, vous avez l'impression que le gouvernement vous a caché des chiffres ou a fait en sorte que vous ne les ayez pas dans les échéances que vous auriez souhaitées? Est-ce qu'il y a manque de collaboration ou de transparence?

Mme Maltais : Je ne parlerais pas de manque de collaboration et de transparence. Toujours dans un esprit de collaboration… Rappelez-vous, on fait cette demande-là dans un esprit de collaboration. Mais il faut faire un travail sérieux. Il faut faire un travail sérieux. C'est pour ça qu'on dit nos choses cette semaine. On s'attend à ce que mercredi on soit déjà dans l'adoption de principe du projet de loi. Alors, on dit : Ce serait bien que le gouvernement nous énonce leur volonté de nous déposer les chiffres avant l'étude article par article et qu'on connaisse les amendements majeurs à l'adoption de principe. Ça va permettre aux gens de faire un travail sérieux. Il faut que le travail soit fait sérieusement. Mon collègue député de Sanguinet, Alain Therrien, vous a dit : C'est ça, l'enjeu; en commission parlementaire, c'est le principal point de discussion. Alors, on a besoin de ces... Ce geste-là permettrait de travailler dans un climat vraiment de détente.

La Modératrice : …questions en anglais? Est-ce qu'on a fini avec le français?

M. Lacroix (Louis) : Sur un autre sujet, Mme Maltais, qu'est-ce que vous pensez de la possibilité de moduler les droits de garderie, comme pourrait faire le gouvernement Couillard, là, peut-être abandonner l'idée du tarif unique, là?

Mme Maltais : C'est une atteinte directe à la classe moyenne. On nous avait promis, en campagne électorale, de ne pas hausser, de ne pas avoir de choc tarifaire, et c'est directement un choc tarifaire non annoncé. Parce que rappelons-nous que les libéraux avaient ridiculisé notre idée d'annoncer tranquillement une hausse graduelle. Là, on procède par un choc tarifaire, et surtout ce choc va viser la famille de la classe moyenne. D'autre part, c'est mettre fin à l'universalité. Nous croyons que l'universalité de ce programme était une bonne idée.

M. Robillard (Alexandre) : Aller au-delà de 9 $, selon vous, ce serait porter atteinte à la classe moyenne?

Mme Maltais : En fait, c'est que la... Là, on ne connaît pas encore la hausse qu'ils vont proposer, mais il faut comprendre qu'ils avaient promis de ne pas hausser les tarifs. Ça avait été un débat en campagne électorale. Et il n'y avait pas de choc tarifaire. Donc, déjà, il y a un engagement rompu.

Deuxièmement... On va voir. Parce que, si on met fin à l'universalité et si on procède par crédit d'impôt, parce que c'est peut-être... il y a la hausse de tarif, mais il y a une possibilité de se rattraper sur le crédit d'impôt, ça, ça peut être très coûteux pour la classe moyenne. Ça peut vraiment être très coûteux pour la classe moyenne.

M. Robillard (Alexandre) : Est-ce que ça ouvre la porte à...

Mme Maltais : Parce qu'ils vont payer en double, la classe moyenne, là. Ils paient le tarif qui va être augmenté puis, en plus, ils vont payer par un crédit d'impôt. Alors, ils vont... Tu sais, on va diminuer leur crédit...

M. Robillard (Alexandre) : Mais si, au final, ça reste en dessous de 9 $, ce qui était un peu l'objectif du Parti québécois, est-ce que ça demeurerait acceptable, avec... Si, au total, là, en prenant crédit d'impôt puis tarif...

Mme Maltais : Moi, je pense que... nous croyons... Il y a deux principes que ça brise. Premièrement, c'est une promesse rompue par rapport à la campagne électorale; deuxièmement, le principe d'universalité. Nous croyons encore que c'était la meilleure chose. Et vous allez voir quel bordel que ça va être à gérer.

M. Lacroix (Louis) : Mais est-ce que vous acceptez le fait qu'il y a des gens dans notre société qui sont capables de payer plus que le tarif universel?

Mme Maltais : Ça s'appelle l'impôt. La redistribution, ça passe d'abord par l'impôt. Alors, les gens de la classe moyenne paient plus d'impôt. Ils vont payer des tarifs plus chers puis, en plus, vont se faire baisser leurs crédits d'impôt. Vous voyez, ça va…

M. Lacroix (Louis) : C'est le principe de l'utilisateur-payeur, là, parce que…

Mme Maltais : Non. Nous, on croit à l'universalité des services de garderie. On pensait que c'était une très bonne idée, très, très bonne idée et on y croit encore.

M. Robillard (Alexandre) : Est-ce que ça pourrait être le prélude à des révisions d'autres tarifs suivant ce même…

Mme Maltais : Nous sommes convaincus… Écoutez, on va sûrement… On va rouvrir… L'Assemblée nationale va bientôt être en pleins travaux, et nous avons commencé à entendre des bruits, des rumeurs. Certaines sont transmises par vous, d'autres, par des gens qu'on entend, et c'est clair que nous allons être très vigilants quant à ce que nous croyons possible, c'est-à-dire des hausses de tarifs et d'impôt, très, très vigilants. Ça peut arriver à plusieurs endroits, mais l'opération qu'est en train de faire le gouvernement en catimini, en catimini, peut être très dommageable pour les contribuables.

Mme Plante (Caroline) : Mrs. Maltais, during the campaign, didn't the PQ want to increase those daycare fees to $10 a day?

Mme Maltais : Yes, but we did it openly and we didn't touch to the universality of the kindergarten. So, we are… first, it's the breaking of the… Ah, mon Dieu! Je n'étais pas prête à faire un petit point de presse en anglais ce matin. Écoutez, c'est une promesse rompue.

Mme Plante (Caroline) :

Mme Maltais : Oui, mais il fait une promesse… C'est l'engagement d'une… C'est une promesse rompue d'abord, et, deuxièmement, on croit encore à l'universalité.

Mme Plante (Caroline) : What is most important about that principle of universality?

Mme Maltais : It's, first, easier to manage for the people, for the families. It's easier to be… to work with as a system, and, second, it means we pay differently our services in Québec by the income. And, in this point, they're touching the… On recommence, touching the universality, they touched to… they increase the price of a day in the kindergarten, they increase the income and they affect the taxpayer directly.

Mme Plante (Caroline) : Were you expecting this?

Mme Maltais : No. It's… C'est le bris d'une promesse rompue. C'est le bris d'une promesse rompue. C'est le bris d'une promesse, c'est la rupture d'une promesse.

M. Hicks (Ryan) : Oui, mais par rapport à la classe moyenne, vous avez dit quelque chose en français par rapport à la classe moyenne.

Mme Maltais : Je suis désolée, mais je ne peux pas répéter ce matin en anglais.

M. Hicks (Ryan) : Est-ce que je peux vous poser juste une question à propos de votre déclaration à propos des régimes de retraite…

Mme Maltais : Bien sûr.

M. Hicks (Ryan) : …en anglais, pour…

M. Therrien : Allez-y. Allez-y.

M. Hicks (Ryan) : Just, you know, what are you saying today about pensions?

M. Therrien : First, we have a problem with… because we learned some… We have some information in this commission and some reflection is… We don't want to have a plan for all the pension plan, you know. We want to have originally a solution for each city, and, first, it's like when you talk about… en anglais, des indexations…

M. Hicks (Ryan) : Indexation.

M. Therrien : The indexation of the pension plan for the active workers. We have some problem with that, because… in this project of bill, we have the obligation to remove that and it's not correct because some people said : We don't want to be confronted with this obligation. We want to negotiate. In this project of bill, we have some problem with that because no negotiation with many pieces of this solution.

Mme Plante (Caroline) : Do you want to know about these amendments sooner rather than later?

M. Therrien : From the Government? We don't know, we don't have any information from them.

Mme Plante (Caroline) :

Mme Maltais : Yes, we want them. We want them…

M. Therrien : Oh! We want them, yes. Yes.

Mme Maltais : Yes, we want them before beginning the debate on the principle of this bill. We want that, we do think it would assure a better climate around the discussion around that bill.

Mme Montgomery (Angelica) : Yes, we heard that actuarial reports that says that this bill is actually unnecessary. What do you think about that, that it's possible that there's information out there that says this bill isn't even needed?

Mme Maltais : That's why we want the numbers. That's why we want the information before studying, article by article, that bill. We need the information. So looking at the information, we will be able to analyze effectively how far we must go on pension funds redistribution.

M. Lacroix (Louis) : Sur les nominations, Mme Maltais, hier, il y a Christos Sirros, Line Beauchamp… en tout cas, il y a eu M. Mercier également, là, qui a été nommé. Qu'est-ce que vous pensez de ça, de ces trois nominations-là dans des postes très convoités…

Mme Maltais : Je ne comprends pas pourquoi ce nettoyage de la machine. Je remarque qu'il y a un… on parle d'un rebrassage de cartes, mais il y a… c'est vraiment du nettoyage. Pourquoi enlever Christiane Pelchat? Le Parti québécois… Christiane Pelchat est une ancienne députée du Parti libéral. Nous avons laissé Christiane Pelchat à la Délégation générale du Mexique. On n'y a pas touché. Pourquoi? Parce qu'elle faisait du bon travail. Pourquoi ont-ils décidé tout à coup de mettre à la porte des gens qui font du bon travail? Ça coûte des sous ces nominations-là.

Alors, oui, c'est clair que M. Couillard, qui avait promis de faire un autre type de gouvernance, un autre type de gouvernement, est en train de retomber encore une fois dans les vieux travers. Je vous note aussi qu'à…

M. Lacroix (Louis) : Mais vous l'aviez fait, vous aussi, Mme Maltais…

Mme Maltais : Semble-t-il qu'en Belgique il y avait un travail extraordinaire qui était en train de se faire, et je ne comprends pas pourquoi, à si court terme, il y avait nécessité de changer ces personnes-là. Je comprends qu'un gouvernement peut en venir tranquillement parfois à des nominations… Mais ça s'est fait très rapidement, c'est vraiment un nettoyage, là… Je ne sais pas pourquoi. Il nettoie même des libéraux, il y a un bout.

M. Robillard (Alexandre) : Est-ce qu'il y a lieu de donner suite de façon plus active au rapport Perrault?

Mme Maltais : Oui, je pense que oui, ça pourrait être envisagé. Je pense qu'on a… gouvernement après gouvernement, je pense qu'on va être clair avec vous autres, là, on critique les nominations, mais là ça s'apparente à du nettoyage. Donc, il faudrait trouver des moyens d'arrêter ça.

M. Robillard (Alexandre) : Est-ce qu'il serait important de mettre de l'avant ce «move»?

Mme Maltais : Tu sais, il faudrait… il faudrait revoir tout ça, là. Je ne suis pas prête à vous répondre.

M. Lacroix (Louis) : Bien, pourquoi c'est comme ça? Vous avez critiqué, à l'époque, les nominations du Parti libéral, il y en avait eu 715…

Mme Maltais : Ah! Mais il faut voir la quantité…

M. Lacroix (Louis) : Après ça vous êtes arrivés, vous avez fait la même chose, ils vous ont critiqués.

Mme Maltais : Un instant.

M. Lacroix (Louis) : Là, vous revenez, vous critiquez. Pourquoi est-ce que ça persiste, ça, ce…

Mme Maltais : Personne, personne… Dans les nominations qu'on a faites, il y a eu très peu de critiques sur la compétence, très, très peu. Deuxièmement, on a attendu des fins de mandats, on a attendu… sauf à certains postes, mais… Prenons, par exemple, André Boisclair. Oui, il y a eu des critiques quant à des choses, mais personne n'a jamais remis en question la pertinence de la personne à cet endroit-là, personne. Pourquoi est-ce qu'on remet en question la pertinence de Christiane Pelchat à Mexico? Je ne comprends pas.

M. Robillard (Alexandre) : Puis Mme Beauchamp à l'UNESCO?

Mme Maltais : Mme Beauchamp à l'UNESCO, je ne comprends pas.

M. Robillard (Alexandre) : Même si elle a été ministre de l'Éducation?

Mme Maltais : Elle a été ministre de l'Éducation, elle a été ministre de la Culture, mais moi, je ne comprends pas pourquoi on déplace les gens. Jusqu'ici, les nominations à l'UNESCO étaient des doctorants, des gens de très, très haut niveau. C'étaient toujours des doctorants, à ce qu'on m'a dit. Je vous dis l'information qu'on m'a passée hier. Je vous… Avant, je vous invite à aller fouiller, là…

M. Robillard (Alexandre) : Des candidats au doctorat?

Mme Maltais : Des doctorants, des gens qui étaient… qui avaient un très haut niveau d'études supérieures et tout. Là, on a rompu une tradition. Pourquoi? C'est au gouvernement à l'expliquer.

M. Robillard (Alexandre) : Ça, ça devrait être un critère, selon vous, qui…

Mme Maltais : C'est un critère non dit. Jusqu'ici il y avait une tradition. Je vous dirais, il y a une rupture de tradition. C'est ce qu'on m'a dit.

Mme Plante (Caroline) : But how can you denounce these nominations today when the PQ has done exactly the same thing?

Mme Maltais : I am sorry, but let's talk about Mrs. Christiane Pelchat. She is an ex-MNA from the Liberal Party. She was in Mexico, and we've left her… and she was there and she remained there during… we were at the Government. Why? Because she was doing a very good job, a very good job. And why do they take her out? Why is she moved? We don't understand. That's money for the people, that's problems, that's… We don't understand. And it's quick. Listen, they have arrived to Government in April and they are changing a lot of people. Why? Why this… There's no hurry.

Mme Montgomery (Angelica) : Do you think that the liberal appointments do not have the competence for their jobs?

Mme Maltais : I won't comment every person effectively, but the question is : Why this hurry? I can't say. The people who were there before were competent, even the Liberals were competent. Why do they change them?

M. Lacroix (Louis) : Est-ce que ça prend absolument d'anciens ministres ou députés pour occuper des postes de délégation du Québec? Parce que...

Mme Maltais : Nous avons nommé Mme Dominique Poirier à New York. Je ne crois pas que ce soit une ancienne ministre ou députée. Je ne crois pas qu'elle soit associée à quelque parti que ce soit et je pense qu'elle est en train de faire un très bon travail. Or, il y a des rumeurs de la déplacer actuellement. a des gens qui font un bon travail puis que les gouvernements vont les laisser aller? Nous, nous avons laissé là les gens qui n'étaient pas de nos affiliations politiques mais qui faisaient du bon travail, et je veux les remercier pour ça. Merci.

(Fin à 9 h 47)

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